La ceinture physiomat
Lors de ma grossesse pour Grand Piou, la sage-femme qui me suivait en libéral m’a parlé d’une ceinture de maintien. Elle ne m’en parlait pas tellement pour la grossesse, mais plutôt pour après l’accouchement, comme quelque chose de vraiment bénéfique et m’avait donné un article sur le sujet. Article plutôt bien fait et intéressant (il faudrait que je vois si je ne le retrouve pas pour vous le faire partager…), mais je me suis dis qu’on verrait bien au moment de la naissance. Les évènements ont fait que j’ai arrêté de voir la sage-femme en fin de grossesse et je ne l’ai revue que tard après l’accouchement. La ceinture, je l’avais complètement oublié. Jusqu’à qu’une amie, suivie par la même sage-femme, me propose un jour sa ceinture alors que j’avais fait un peu trop d’efforts et souffrais du dos. Quel confort !
Pour la grossesse du Petit Piou, deux amies m’ont proposé de me prêter ladite ceinture. J’ai pris les deux ceintures, ça tombe bien il y en avait une de chaque taille ! En fin de grossesse ça a été un réel soulagement pour les douleurs que je pouvais ressentir. Et j’ai donc pu tester cette fameuse ceinture pelvienne pour après l’accouchement. Je redirai la même chose que tout à l’heure: quel confort ! Je l’ai portée pratiquement tous les jours dès que je devais marcher un peu (parce que par contre assis ça n’est pas confortable), je pouvais porter mon bébé en toute tranquillité sans ressentir trop de poids ou de douleurs, sans fatiguer trop vite alors que sans la ceinture ça n’était pas la même chose. Il s’avère aussi que ça permet de ressentir son bassin refermé après l’accouchement, ce que j’ai trouvé vraiment agréable. Une précision: il est important de vraiment bien positionner la ceinture pour quelle soit efficace.
Cette ceinture c’est physiomat qui la fait, en deux tailles possibles. J’ai aimé la taille large pour la fin de grossesse et les deux premières semaines qui ont suivit l’accouchement. Ensuite la plus petite était tout à fait suffisante. C’est un investissement certes, mais qui je pense en vaut la peine.
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