Jamais sans mon sling
Le sling je connaissais de nom quand grandPiou est né. Mais je n’ai réellement investi qu’après ma seconde formation sur le portage, grandPiou avait alors 13 mois.
Mais comment ai-je fais pour tenir tout ce temps sans sling ? Bon c’est vrai j’avais mes écharpes et c’était amplement suffisant. Enfin presque puisque lorsque j’ai découvert le bonheur de porter en sling il était hors de question que je revienne en arrière et me sépare de mon (unique à l’époque) sling. Je faisais exclusivement du portage sur la hanche pour mon grandPiou d’un an et quelques.
Depuis des slings j’en ai un peu partout: un dans la voiture, un dans le sac à langer, à disposition dans la maison (posés ça où là, parfois rangés aussi à leur place, si si ça arrive). C’est l’avantage d’en avoir plusieurs voyez-vous. C’est qu’avec les ateliers de portage je suis bien obligée d’en avoir plusieurs (la belle excuse…).
Le sling pour moi c’est le top côté rapidité. Ça ne traine pas par terre. Avec un peu d’habitude ça se règle en quelques secondes à peine, pour un portage confortable d’une courte durée (30 à 45 minutes. Au delà optez plutôt pour un portage symétrique).
Avec on peu porter devant, Bébé en assis de profil, en ventre à ventre ou en ventral décentré. Ou bien en portage sur la hanche et même dans le dos. Avec ou sans volte au choix. Bref on ne s’ennuie pas avec les slings !
Et quand on a des aînés, qu’on a la passable habitude d’être en retard pour aller à l’école, le sling ça sauve. Aussi quand bébé a absolument besoin des bras de manière urgente quand on donne le bain aux grands. Et puis pour sortir de la voiture et enfiler un truc rapidement sans que ça traîne par terre.
Ah aussi très occasionnellement comme petit châle quand il fait froid si on n’a rien d’autre. Il suffit d’enlever le tissu des anneaux et le tour est joué. Une partie du tissu restera toujours cousue aux anneaux mais on peut réussir à en faire quelque chose d’esthétiquement sympa.
Bref c’est sûr le sling je ne peux pas m’en passer.